Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
11 juillet 2021 7 11 /07 /juillet /2021 20:00


Le dessin humoristique et même la caricature étaient pratiqués déjà par son père Guilhaume Cazenavette magistrat qui a croqué de manière satirique nombre de ses collègues magistrats et quelques avocats (dessins et figurines en plâtre).

 

Monique Riffault a commencé très tôt la caricature pour le plus grand plaisir de ses camarades de classe.

En 1937, elle dessinera SA version de "L"Enéïde", sa version du foot-ball etc...

En vacances en Normandie à Donville les Bains, elle croquera les baigneurs et baigneuses sur les plages de Granville et Donville.






"Deux paroisses à desservir", Donville, aquarelle, août 1937


Vers 1958, Monique Riffault publie aux Editions Lito (Suède), deux albums pour enfants en collaboration avec sa fille Jacqueline âgée alors de 4 ans, devenue par la suite ...magistrate ! : "Et ron, ron, ron, Petit Patapon" et "Voyage en Amérique du soir".







Double page extraite de l'album "Ron, Ron, Ron, Petit Patapon"






Double page suivante, extraite de l'album "Ron, Ron, Ron, Petit Patapon"


Correction-Correction-P1000390.JPG


Première page de couverture de l'album n°2 "Voyage en Amérique du Soir"


P1000397


Double page, extraite de l'album "Voyage en Amérique du Soir"


P1000395


Double page, extraite de l'album "Voyage en Amérique du Soir"



P1000404.JPG


Double page, extraite de l'album "Voyage en Amérique du Soir"


Partager cet article
Repost0
13 juillet 2019 6 13 /07 /juillet /2019 12:09

Monique Riffault n'ayant pas été élève comme sa sœur Louise Cazenavette des Beaux Arts, a cherché des modèles non professionnels dans son entourage proche : amies, enfants, etc... qui ont accepté de poser d'abord pour faire plaisir, rarement par agrément car ladite pose sans bouger pendant trois heures durant, devient au bout d'un certain temps, une contrainte et génère même quelque fois un torticolis voir une crampe. 

Lorsque l'envie de peindre un nu ne trouvait pas de modèle correspondant, l'artiste prenait la pose elle-même devant un grand miroir, posé à même le sol.

En voici quelques uns :

 

1975- NU- COUCHE -AU- CHAT.JPG

  

Riffault Monique , "Nu couché au chat» , huile sur toile , 30

horizontale F , 1975, peint à Menton ,

  

 

1980- NU- UA - CHAPEAU.jpg

 

 Riffault Monique , "Nu au chapeau» , 1980, peint à Menton , Vendue

Cette toile vendue a été peinte à l'extérieur dans le jardin de Menton d'où une lumière particulière bleutée.

   

 

1982- NU- UA - PHILO - POURPRE.JPG

 

 Riffault Monique , "Nu au pourpre philo» , huile sur toile , 1982, F 40, 

étude d'après "nu endormi"

exposée au Salon des Indépendants en 1984

 

Un dernier nu achevé malgré la maladie en 2004 et exposé à ses enfants pendant les fêtes de Noël 2004 a tristement disparu après le décès du peintre, disparition découverte à l'occasion de l'inventaire des toiles de l'artiste effectué par l'administrateur du blog assisté d'Alexandre Derôme et de Danièle ARRIGNON qui a prêté son appareil photos pour l'élaboration de cet inventaire en vue d'un catalogue des œuvres du peintre.  

"Prince des monte-en l'air et de la ca(m)briole, Tu ne m'as dérobé que le stricte nécessaire, Délaissant dédaigneux, l'exécrable portrait Que l'on m'avait offert à mon anniversaire, Quel bon critique d'art, mon salaud,  tu ferais ! Post-Scriptum, Si le vol est l'art que tu préfères, Ta seule vocation, ton unique talent, Prends donc pignon sur rue, mets-toi dans les affaires, Et tu auras les flics même comme chalands. " Georges Brassens  

Partager cet article
Repost0
13 juillet 2019 6 13 /07 /juillet /2019 11:39

 

  "J’avais repéré, à la fin des vacances précédentes, un endroit ravissant au début des gorges du Pian, après Sospel ; un méandre de rivière, coulant sur des pierres d’un gris perle délicat, avec une plage de sable et de grands arbres nobles, élancés, aux feuillages légers comme des plumes, le tout baignant dans une lumière d’argent.

 

J’en parle à mes grands et nous nous précipitons, sans oublier le pique-nique, à cet endroit enchanteur.

 

Une abominable surprise nous attendait : d’abord une énorme rampe d’accès pour camions. Sur mes beaux cailloux, deux excavateurs, un jaune et un rouge, des planches, un commencement de décharge dans un coin, le cours de la rivière détourné derrière les arbres : un massacre.

 

A cause de la rivière, les petits voulaient rester. On déjeune, cela remonte toujours le moral, et nous nous installons pour peindre, ma fille ainée et moï, pensant que nous arriverions bien à nous abstraire des machines, à remettre une plage et de l’eau en allant en chercher les tons et les valeurs un peu plus hauts, enfin le courage était presque revenu. A deux heures pile, un énorme camion benne arrive, avec des ouvriers très gentils, enchantés de nous trouver là, nous disant que nous ne les dérangeons pas du tout ; ils mettent la machine rouge en marche et commencent à ramasser des pierres. Alors là, dans ce creux de montagne, c’était effrayant. Nous plions bagage, la mort dans l’âme, les tympans broyés. Le chef de chantier arrête la machine et nous crie : « Alors, ça gène le pinceau ? » nous lui disons que oui. « Eh bien qu’est-ce que ça va être quand la jaune va marcher aussi ! » Nous n’avons pas attendu pour en juger. Les ouvriers étaient tout tristes de nous voir partir. Les petits, eux, étaient furieux : ils commençaient tout juste à réunir une collection d’os de ruminants, des fémurs, des mâchoires. Ils voulaient bien admettre qu’il n’y avait là rien de préhistorique, mais leur imagination était lancée."

 

 

Monique Riffault

 

  

 

1971-LE-SAULE-DE-VILLE-D-AVRAY.JPG 

 

 

 Monique Riffault, "Le saule de ville d'Avray", huile sur toile, 1971, 25 F

 

 

 

1973-LE-LOUP.JPG 

 

Monique Riffault, "Le loup", huile sur toile, 1973, 40 F

exposée au salon des Artistes français

 

 

 

1974-LA-BEVERA.JPG 

 

Monique Riffault, "La Bévéra", huile sur toile, 12 F, 1974

 

 

 

 

1974-LA-BEVERA-A-PAQUES.JPG 

 

Monique Riffault, "La Bévéra à Pâques", huile sur toile, 40 F, 1974

 

 

 

 

1975-LE-VAR.JPG 

 

Monique Riffault, "Le Var", huile sur toile, 1975, 40 F,

exposée au salon des  Artistes français en 1977 R 987 (3)

 

 

 

 

1979-LA-RIVIERE.JPG

 

Monique Riffault, "La rivière", huile sur toile, 1979, Le Pescaïre à Menton (06)

exposée au salon des  Indépendants en 1981 (2) (3865)

 

 

 

 

1979-LE-PESCAIRE.JPG

 

Monique Riffault, "Le Pescaïre", huile sur toile, 6 F, 1979, Menton (06)

 

 

 

les-gorges-du-cians.jpg 

 

 

Eté 1980, dans les gorges du Cians

 

 

1979-LES-GORGES-DU-CIANS.jpg

 

Monique Riffault, "Les gorges du Cians", huile sur toile, 40 F,

exposée au salon des  Indépendants en 1980 (4220) (2)

 

 

 

1984 LES CHARDONS DE LA BEVERA

 

 

Monique Riffault, "Les chardons de la Bévéra", huile sur toile, 1984, 40 F

exposée au salon des  Indépendants en 1985 2306 et au 33ème SALON DE CHAMPAGNE SUR OISE de 2003

 

 

 LA-RIVIERE-A-YQUELON.JPG

 

Monique Riffault, "La rivière à Yquelon", huile sur toile : Le Bosc (50)

 

 

 1977-EMBOUCHURES-DE-LA-SIENNE.JPG

 

 

Monique Riffault, "Embouchures de la Sienne", huile sur toile, 1977  

Partager cet article
Repost0
15 février 2016 1 15 /02 /février /2016 09:20

Jean Royère est né en 1902. Il travaille dans l'import-export et voyage beaucoup.

Ses voyages enrichissent son goût inné pour la décoration et, quittant sa profession, il devient décorateur à l'âge de 29 ans.

Il commence sa carrière dans une fabrique du Faubourg Saint-Antoine et obtient sa première grande commande (le bar du Carlton sur les Champs-Élysées) en 1933.

Son succès est immédiat et lui permet de collaborer jusqu'en 1942 avec Pierre Gouffé dans la création d'un mobilier original et de grande qualité.

Après la guerre, ayant fondé sa propre entreprise, il décide d'ouvrir des agences dans de nombreux pays : Liban, Égypte, Syrie, Pérou… Jean Royère devient à cette époque le décorateur des souverains du Moyen-Orient, affirmant un style unique, fait de motifs déclinés avec imagination et démesure, audace dans l'utilisation des couleurs et des matériaux.

Ses décors féériques en font l'un des décorateurs les plus étonnnants de l'après-guerre, s'inscrivant en marge des grands courants, proposant des solutions uniques mais toujours fonctionnelles.

Avant de quitter définitivement la France pour les États-Unis, en 1980, le décorateur offrit l'intégralité de ses archives au Musée des arts décoratifs de Paris.

Jean Royère
Jean Royère
Jean Royère
Jean Royère
Jean Royère
Jean Royère

Jean Royère travaille avec de nombreux plasticiens comme Alice Colonieu et Nicolas Triandafillidis créateur de mode.

Marie Riffault son épouse et Rita sa fille habillées en Trianda
Marie Riffault son épouse et Rita sa fille habillées en Trianda
Marie Riffault son épouse et Rita sa fille habillées en Trianda

Marie Riffault son épouse et Rita sa fille habillées en Trianda

Nicolas Triandafillidis commande un important mobilier à Jean Royère pour son appartement privé rue de Grenelle et son magasin et ses bureaux situés à Paris dans le 7ème arrondissement entre les Invalides et l'école militaire.

Jean Royère
Jean Royère
Jean Royère

A l'occasion de sa rencontre avec Jean Royère, Monique Riffault crée des luminaires (deux paires d'appliques, un lampadaire, un pied de lampe) et une table basse qu'elle fait réaliser dans les ateliers du décorateur.

Jean Royère
Jean Royère
Jean Royère
Jean Royère
Partager cet article
Repost0
13 octobre 2015 2 13 /10 /octobre /2015 15:51
Tournay, souvenirs d'un poète : Francis Jammes

Francis Jammes né à Tournay (Hautes-Pyrénées) le 2 décembre 1868 et mort à Hasparren (Basses-Pyrénées, aujourd'hui Pyrénées-Atlantiques) le 1er novembre 1938, est un poète, romancier, dramaturge et critique français, contemporain et voisin des parents de Louise et Monique CAZENAVETTE, aristes peintres. Il passa la majeure partie de son existence dans le Béarn et le Pays basque, principales sources de son inspiration.

“C’est dans une petite rue parallèle à la grande […] que ma maison natale, la maison Cazabat, était située”. Fils de Victor Jammes (1831-1888) et d'Anna Bellot (1841-1934), Francis Jammes gardera le souvenir du Docteur Pédebidou, de Mlle Mailhou, l’épicière, de M. Lay, l’instituteur, du notaire Denagiscarde (*) et du pharmacien Fourcade (*). En juin 1875 le jeune Francis quitte Tournay pour Pau.

 

Francis Jammes étudie au lycée de Pau, puis à Bordeaux. En 1886, il découvre Baudelaire. En 1888, il perd son père alors qu'il n' a pas vingt ans. En 1889, après son échec au baccalauréat (avec un zéro en français), il fait un stage sans lendemain comme clerc d'avoué chez un des notaires de sa ville (notaire qui pourrait être le père de Marthe Carrère ou bien l'un de ses concurrents).

 

Une Association s'occupe activement de conserver la mémoire du poète et de ses oeuvres.

 

Ses essais poétiques sont remarqués notamment par Mallarmé et Gide. Son principal éditeur est et restera longtemps Le Mercure de France. En 1896, il voyage avec Gide en Algérie. Il lance en 1897 avec « Le jammisme » un vrai-faux manifeste littéraire qui le propulse à l'avant-scène de l'actualité. En 1898, il publie son premier vrai recueil poétique (son meilleur selon certains), De l'Angélus de l'aube à l'Angélus du soir, et rencontre le poète Charles Guérin, qui viendra le visiter à Orthez et écrit pour lui plusieurs poèmes (« Ô Jammes, ta maison ressemble à ton visage... »).

Il rencontre Claudel en 1900 et publie l'année suivante Le Deuil des Primevères. À trente-cinq ans en 1904, il vit très mal l'échec d'une histoire d'amour qui lui inspire le groupe de poèmes intitulé Tristesses (publié en 1906 dans son recueil Clairières dans le ciel). Sa poésie devient plus religieuse et dogmatique. Début octobre 1907, à 39 ans, il se fiance (à Lourdes) et épouse (à Bucy-le-Long, près de Soissons, dans l'Aisne) une fervente admiratrice avec laquelle il a correspondu pendant quelques semaines, Geneviève Goedorp. Le poète séjournera volontiers dans l'Aisne dans les années qui ont suivi son mariage. Le couple aura sept enfants, l'aînée, Bernadette (par référence à sainte Bernadette et Lourdes), le quatrième, Paul, à cause de Claudel. En 1912 paraissent les Géorgiques chrétiennes.

 

Il tisse de nombreuses correspondances avec ses contemporains tels que Gide ou Arthur Fontaine. En fait, il a fait de multiples séjours à Paris, a enchanté certains salons littéraires (comme celui de Mme Léon Daudet, il y a enchanté Marcel Proust), il y rencontra l'abbé Arthur Mugnier qu'il surnomma "l'apôtre de la mèche qui fume encore"; sa pièce La Brebis égarée, qu'avait failli monter Lugné-Poe, a inspiré à Darius Milhaud un opéra qui a été créé en présence du poète. Il a plusieurs fois été invité en Belgique. Il posa plusieurs fois, mais en vain, sa candidature à l'Académie française. En France, on ne connaît au mieux de Jammes que ses premières œuvres, les plus libres et sensuelles. À l'étranger, et spécialement en Allemagne, Autriche et Suisse alémanique, ainsi qu'au Japon, en Chine, en Lettonie, en Espagne et aux États-Unis, son œuvre, toute son œuvre, est encore aujourd'hui très vivante. Elle a enchanté Rainer Maria Rilke (qui en témoigne aux premières pages des Cahiers de Malte Laurids Brigge), Ernst Stadler (qui a traduit ses Quatorze prières), l'éditeur Kurt Wolff (qui a publié une magnifique édition illustrée de son Roman du lièvre (Hasenroman), Kafka (qui dans son Journal avoue le bonheur éprouvé à la lecture de Jammes) et beaucoup d'autres. Toute son œuvre en prose ou presque a été traduite et publiée par Jakob Hegner, de Leipzig. Lili Boulanger a mis en musique son recueil Clairières dans le ciel, Claude Arrieu « Ah ! Quand verrai-je des îles », Marc Berthomieu « La salle à manger » et Georges Brassens un choix de strophes du poème «Rosaire» sous le titre « La Prière ». Par méconnaissance, certains affirment que Brassens a ajouté un couplet qui figure déjà dans une version des œuvres de Jammes datant de 1913.

 

(*) cousins de Louise et Monique Cazenavette

 

Pour approfondir :

http://www.francis-jammes.com/ : Association Francis Jammes

Source : Wikipedia

Partager cet article
Repost0
10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 16:49
Huile sur toile de Rolande Déchorain
Huile sur toile de Rolande Déchorain

Rolande Déchorain était l'épouse du peintre Henri Vergé-Sarrat. Elle peignait aussi des huiles sur toile.

Voici une de ses compositions.

Partager cet article
Repost0
10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 16:29
Toiles de Guilhaume Cazenavette

Monique Riffault est née le 11 juillet 1921 à Quimper de Guilhaume CAZENAVETTE, magistrat, sculpteur et dessinateur- caricaturiste et de Marthe CARRERE, sans profession, peintre miniaturiste. Voici de Guilhaume Cazenavette un portrait.

Partager cet article
Repost0
26 janvier 2015 1 26 /01 /janvier /2015 16:37

Monique Riffault est née le 11 juillet 1921 à Quimper de Guilhaume CAZENAVETTE, magistrat, sculpteur  et dessinateur- caricaturiste et de Marthe CARRERE, sans profession, peintre miniaturiste.

 

Voici de Guilhaume Cazenavette quelques dessins et caricatures protégés sous transparents perforés grands formats réunis dans un grand classeur photographiés ainsi il y a une semaine.

 

 

 

 

La vie parisienne

 

P1000660

 

P1000661

 

P1000662

 

P1000663

 

P1000664

 

 

P1000665

 

P1000666

 

 

P1000667

 

 

P1000668

 

 

P1000669

 

 

P1000670

 

 

P1000671

 

 

P1000672

 

Les gens de justice

 

P1000673

 

 

P1000674-copie-1

 

 

P1000675

 

P1000676

 

P1000677

 

P1000678

 

P1000679

 

 

P1000680

 

 

P1000681

 

 

P1000682

 

 

P1000683

 

 

P1000684

 

 

P1000685

 

 

P1000686

 

 

P1000687

 

 

P1000688

 

 

P1000689

 

 

P1000690

 

 

P1000691

 

 

La  religion

 

P1000692

 

 

P1000693

 

 

P1000694

 

 

P1000695

 

L'armée

 

P1000696

 

 

P1000697

 

 

P1000698

 

 

P1000699

 

 

P1000700

 

 

P1000701

 

 

P1000702

 

 

P1000703

 

 

P1000704

 

 

P1000705

 

 

P1000706

 

 

P1000707

 

 

P1000708

 

 

P1000709

 

 

P1000710

 

En vacances


P1000711

 

 

 

P1000712

 

 

P1000713

 

 

P1000714

 

 

P1000715

 

 

P1000716

 

 

P1000717

 

 

P1000718

 

 

P1000719

 

La médecine

 

P1000720

 

 

 

P1000721

 

 

P1000722

 

 

P1000723

 

 

P1000724

 

 

P1000725

 

 

P1000726

 

 

P1000727

 

 

P1000728-copie-1

 

 

P1000729

 

 

P1000730

 

P1000731

 

P1000732

 

P1000733

 

P1000734

 

P1000735

 

P1000736

 

P1000737

 

P1000738

 

P1000739

 

P1000740

 

P1000742

 

P1000744

 

 

P1000745

 

 

P1000746

 

 

 

P1000747

 

P1000748

 

P1000749

 

P1000750-copie-1

 

P1000751

 

Tous droits réservés (collection particulière) 

   

Partager cet article
Repost0
24 décembre 2014 3 24 /12 /décembre /2014 13:16

A l'occasion du lancement de l'opération "Paris fête Noël" (programme complet sur www.paris-fete-noel.fr), la Paroisse Notre Dame du Rosaire à Paris 14ème organise une exposition de crêches Salle Sainte Thérèse où l'on peut notamment voir deux oeuvres du peintre Monique Riffault :

 

Nativite.jpg"Nativité"

bas relief

 

 

"La crêche" huile sur toile 1972

M.Riffault-1972-CRECHE.jpg

Partager cet article
Repost0
2 décembre 2014 2 02 /12 /décembre /2014 07:53

 

    Copie-de-Article-sur-Genevieve-L-dans-art---design-page-47.jpg

 

 

Catalogue-Art---Design-octobre-2014.jpg

 

 

 

Article sur Geneviève L dans art & design page 47-copie-1

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Monique Riffault, Artiste peintre, paysagiste et Médailleur
  • : Un titre de blog sous forme de question ! Et pourquoi pas ! Ce blog propose quelques réponses. Il évoque surtout son oeuvre ainsi que celles d'autres artistes l'ayant connue.
  • Contact

D'où venez-vous

Map

(depuis le 28/08/12)

Recherche

Musique

Archives

Reflexions Diverses